Corto Priam Douglas ❝ you better run faster than my bullet ❞

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twenty-five △ third of mars △ joseph gordon-levitt △ soldier (earth army) △ american △ single △ the runways

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Alors, il parait que t'as un véritable caractère de c'est vrai ? c'toi l'cochon. Je suis pas de mauvaise foi : les autres ont toujours tort. Si vous admettez que j'ai raison et que vous avez tort, on pourra peut-être être keupins. Sinon : to the left, to the left. Pour votre bien. Car il paraît que je suis un peu violent, impulsif et méchant. Mais, honnêtement, c'est faux ! C'est mes poings qui parlent. Mais vous inquiétez pas, je les gronde très forts le soir. Mais sinon, je peux m'avérer sympathique. Si vous faites pas chier. Je prends des décisions rapides, pour le bien de tous : je peux donc paraître cruel mais suis foncièrement bienveillant. Engagé, volontaire, fantastique et tout ce qu'il faut de beauté, je peux être votre pire cauchemar comme votre meilleur ami. A vous de me dire ce que vous préférez.
Mais on m'a aussi dit que t'étais un peu un , c'est vrai, t'as évité les traqueurs pour venir ici ? nan, c'est eux qui m'ont conduit ici dans une limousine. Sérieusement, ouais. Pas de pot, ils m'attendaient à l'aéroport du retour d'Europe. J'en ai buté deux-trois, j'ai sauté dans une jeep et je me suis barré. Et ils m'ont pourchassé, ces cons ! J'ai dû les semer et je suis le plus terrible conducteur de tous les temps... donc c'était chaud. Jusqu'au moment où j'ai précipité l'autre dans le ravin et que j'ai tailladé le second. Marrant. Après tout s'est enchaîné très vite et me voilà. Y'a rien d'autre à dire.
Sinon, les enfants-âmes tu veux les ou les ? le premier qui en touche un, j'le bute. C'est des enfants et il sont humains. Je ne vois pas pourquoi on devrait leur faire du mal ou quoi. Ah oui, et y'a ma fille dans le lot. Donc évitez d'y toucher.

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FORGIVENESS IS BETWEEN THEM AND GOD. IT’S MY JOB TO ARRANGE THE MEETING.

« Cours ! » L’arme serré contre lui-même, le brun s’est mis à courir à toute vitesse. C’était un excellent sprinteur, un excellent tireur et un excellent soldat. Pas de pot, la mine a explosé derrière et il a fait un vol plané de plusieurs mètres avant de faire la jolie rencontre du sol. Hagard, sourd, il a regardé autour de lui. Voilà à quoi se résumait l’humanité : des gens qui se battaient. Deux ethnies bien définies, des ennemis immortels, qui se balançaient des balles à la figure. Corto n’avait jamais pu s’empêcher de comparer le front à une cour de récré. « Eh ! tu m’as piqué mon jouet, je vais te tirer les cheveux ! » et « Eh ! tu m’as piqué ma bombe nucléaire, je vais t’exécuter en direct ! » au fond, c’est la même chose. Le jeune homme se sentait bien philosophe, ce soir. Il n’y voyait rien, un bac à sable géant semblant avoir été retourné devant ses yeux de myopes. Ca, il ne l’avait jamais dit à personne. Qui l’aurait pris à l’armée, sinon ? Non. Il plissa des yeux, revêtant les lunettes anti-sable réglementaires et s’approchant de son coéquipier qui souffrait le martyr. Rampant, il finit par le surplomber d’un air soucieux. « Ca va ? » C’était une connerie. Il n’avait plus de jambes. « Comme un cœur. » grogna Mark en retenant des larmes de douleur. Dans un dernier geste héroïque, il leva la main vers Corto… qui retomba aussitôt. Il était mort. Corto grogna, en récupérant ses grenades et il retourna buter des iraniens. Tout était d’une simplicité terrifiante. Se battre, quoiqu’il advienne...

« Mais monsieur ! Vous n’avez pas le droit de faire cela ! » L’homme grogna, un long gargouillis qui s’acheva en toux grasse. Sa moustache frétillait. Personne ne remettait jamais l’autorité de Al en question. Le vrai nom du capitaine Al était Robert Portman mais, après avoir regardé Heat environ une centaine de fois, il avait décidé de s’appeler Al. Al était quelqu’un de plutôt perturbé. « Ah oui ? Et qu’est-ce que je fais, là ?! » Le tampon s’abattit sur la feuille. Corto laissa échapper un long « noooooooooooooon » déformé, un peu comme si sa vie était en stop-motion. Al regarda son petit soldat, mi-fier mi-énervé. Al était un homme mi-figue mi-raisin, jamais content mais jamais mécontent. « Je suis votre meilleur soldat ! » « Techniquement, vous n’êtes plus dans l’armée donc plus un soldat donc plus le meilleur. Bonne chance dans la vie, Douglas. » « Al ! » « Capitaine. Maintenant, dégagez le plancher et allez vous foutre des lunettes sur le nez. Vous verrez enfin dans quelle merde vous vous êtes foutu »

« Vous êtes bel et bien arrivés à Tucson, Arizona. La température extérieure est de… » Corto ronfla. « Monsieur ? Mon-siiieuuur ? » Dans un dernier ronflement, le brun se réveilla en sursaut. L’hôtesse de l’air lui offrit un petit sourire en coin tout gentil. « Vous êtes arrivé. Vous voulez que je vous aide à vous lever ? » L’homme fronça les sourcils. « J’ai réussi durant vingt-cinq ans sans vous… je pourrais m’en passer cette fois. C’quoi, votre p’tit nom ? » Elle a souri. « Sève-des-Bois, monsieur. » « Ah. Ok. » Sans trop y penser, Corto sortit de l’avion, son sac militaire sur l’épaule. « Votre passeport, siouplaît… FUYEEEEZZZZZZ » Le hurlement était instinctif, purement humain. Gros silence dans l’aéroport. « Vite. » Et la personne s’affaissa, comme à bout de force. Corto se tourna vers la personne qui faisait la queue à côté de lui, en riant. « Eh beh, j’en connais qui ont des problèmes de personnalité ! » « Cela ne m’étonne qu’à moitié. Ces humains, qu’est-ce qu’ils sont collants ! Personnellement, mon hôte est d’une insolence rare. » La jeune femme leva les yeux au ciel, comme agacée par un insecte perturbateur. « Il faut les mater jeunes, moi je dis ! Nuage-d’Aurore. Vous êtes ? » Corto, muni d’un naturel étonnant, serra sa main. « Oreilles-Décollées. » Si c’était la mode… les gosses appelaient toujours Corto comme ça, dans la cour de récré. Il aimait bien ce surnom. « Passeport, s’il vous plaît. » Le névrosé psychotique schizophrène avait été remplacé. Corto fila son passeport au nouveau douanier. « Corto… Douglas… » Le douanier checka son nom sur un ordinateur. Dans ses yeux passa une petite lueur – littéralement et métaphoriquement. « Attendez là, s’il vous plaît. » « Pas le temps, mon gros. Je rentre d’Iran, moi ! J’ai tué suffisamment d’ennemis pour ne pas passer par la douane, nan ? » Silence. Tous se regardèrent, horrifiés. Quelques douaniers pointèrent leurs armes – étranges armes, d’ailleurs – sur Corto. « Plus un geste. Nous ne voulons pas vous faire de mal. » « C’est pour ça que vous pointez vos armes sur moi ? » grogna-t-il, en dégainant lui-même son Sig Sauer. Les étranges habitants de Tucson reculèrent. « Posez votre arme, Douglas. » « Cap’tain Al ? kesskevousfoutezlà ? » aurait voulu dire Corto. Mais ils se faisaient plaquer sur le sol par trois douaniers en pleine forme.

« Vous allez nous accompagnez sans faire de grabuge, d’accord ? » « Ca marche. » Les portes de sortir de l’aéroport coulissèrent et Corto envoya ses bottes dans les couilles du mec derrière. Pas de pot pour lui. Il envoyé son coude dans la tête du deuxième et a désarmé le troisième. « Bande de cons ! » Il a hurlé en tirant trois fois, à bout portant. Puis, les autres se sont rapprochés et il les mit en ligne de mire. « Le premier qui bouge, il meurt. » Il a fait sortir le conducteur de la voiture où on voulait l’emmener. Une Jeep. En ce moment-même, Corto essaya d’analyser la situation. Ou un bien la ville était le théâtre d’un jeu de rôle géant… ou bien l’invasion terroriste de Mars n’avait pas tourné court.

Sacrés martiens.

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Spoiler:

Perle-de-miel a écrit:

Je kiff la citation de ton gif.

Code:

c'toi l'cochon. Je suis pas de mauvaise foi : les autres ont toujours tort.

pour le lien, c'est à fond les ballons : nan mais caleb winchester + SAMUEL....
merci beaucoup à tout les deuuuux.

mon précédent message... -out-

c'est un peu bizarre, comme un accueil.
mais va, j't'en veux pas, t'es genre trop jolie. mais tu me dois un lien échange, nah mé oh !

grave, très trop seks cally, surtout sur ta petite moto. dis, c'est proportionnel ou... ?

Bienvenue sur le forum Ton gif en effet

Bienvenue beau gosse

il est bien le gif, hein.
merci beaucoup à touuuus.

dis m'en plus...
perso, je trouve ton gif de signature tout aussi bien, hein. (a)

on s'en fout, maintenant j'en parle. -out-

Citation :

✄ toi tu fais : je tue des gens

Citation :

SOLDIER (EARTH ARMY)

je finis ma fiche et on se trouve ça, mon mignon.
(j'espère que y'a une histoire de lèvres et d'orifice interdit dans ton idée de lien )